Comptes annuels, audits et fiscalisation

Comptes annuels

Soumission de l’activité Économico-Financière du CGPJ aux principes de légalité, d’efficacité et d’économie

L’activité économique et financière du CGPJ en tant qu’organe constitutionnel a été et est soumise, depuis sa création et à tout moment, en plus des contrôles naturels de gestion de tout organe de l’État et de contrôle interne par l’Intervention, au contrôle de la Cour des Comptes, en tant qu’organe suprême fiscalisant les comptes et l’activité économique de l’État.

L’Intervention au Conseil, en tant qu’organe de contrôle interne, se charge du contrôle préalable de tous les actes, documents et dossiers susceptibles de produire des obligations ou des droits à contenu économique. Selon l’article 565 du la Loi Organique 4/2013 du 28 juin, point 3’’, le contrôle interne de la dépense du Conseil Général du Pouvoir Judiciaire sera effectué par un fonctionnaire appartenant au Corps Supérieur des Contrôleurs et Auditeurs de l’État, qui dépendra fonctionnellement du Conseil Général du Pouvoir Judiciaire, et le contrôle externe par la Cour des Comptes.

Les règles générales de passation de marchés et économico-financières de l’État s’appliquent rigoureusement à toutes les activités du Conseil. L’article 639 point 1 indique que le Conseil Général du Pouvoir Judiciaire pourra signer les contrats nécessaires au bon exercice de ses attributions, dans le cadre de la législation relative aux contrats du secteur public.

La Cour des Comptes a favorablement contrôlé tous les comptes de liquidation de ses budgets, intégrés au Budget Général de l’État, depuis sa création.

Le Compte de règlement du Budget du Conseil Général du Pouvoir Judiciaire de chaque exercice est formulé aux termes des dispositions visées aux articles 87 et 92 du Règlement d’Organisation et de Fonctionnement du Conseil Général du Pouvoir Judiciaire du 22 avril 1986, par le Secrétaire Général.